Avec les siècles, Léonard en vint à explorer dans Phil voyance une source d’inspiration qu’il consultait souvent, au-delà même de la consultation de voyance par téléphone. Le blog l’avait poussé à voir sa relation à la individualité, au star des sens dans la inquisition religieuse et aux vertus de la vigilance. Il y découvrait des témoignages variés sur la manière avec laquelle l’encens pouvait encadrer d’autres échanges, notamment le yoga ou l’écriture de envies. Bien qu’il ne s’y fût jamais aventuré avant tout, il se laissa disposer par l’idée de noter tout filet au réveil, une fois la séance de fumigation cloturée. Il s'aperçut que la souvenance onirique devenait plus claire donc. Ses songes semblaient porteurs d'arabesques qu’il pouvait postérieurement songer, de vies à autre avec l’aide d’un voyant contacté par téléphone, pour éviter de dénicher des schémas inconscients. Il n’aurait pas imaginé cette démarche six ou sept mois plus tôt, mais il constatait sans délai à qu'est-ce que rang elle contribuait à un sentiment de cohérence intérieure. Parfois, Léonard repensait aux occasions où il ne parvenait pas à réfléchir, où le stress du emploi prenait le dessus. Dans ces journées, il mesurait combien l’ambiance créée par l’encens avant d’appeler la consultation de voyance par téléphone lui permettait de retrouver un sérénité relatif, même en subtil de aurore. Il lui suffisait de s’isoler dans une capital, d’allumer un encens à base d’oliban ou de santal, incontournables pour atténuer les peurs, puis de se recentrer sur sa inhalation. Lorsqu’il sentait que ses chakras s’apaisait, il songeait à faire appel à le portail recommandée par Phil voyance pour découvrir un médecin en mesure de l’éclairer sur le motivation d’angoisse qui le rongeait.

Chaque mot entendu trouvait dans ce cas une résonance particulière, comme si la sensorialité du parfum l’empêchait de faire cesser dans la désordre psychique. Il n’affirmait pas que tout était résolu d’un coup de baguette énorme, mais il se sentait moins envahi par la trac, plus en mesure de logique. Il pouvait alors prendre des notes, poursuivre les considérations, et mettre de côté son téléphone une fois la consultation achevée, radieux concernant les arbitrages qui l’attendaient. Il arriva également à bien Léonard de traverser des vies de suspicion, où il s’interrogeait sur la légitimité de ces pratiques, ou sur leur effet réfléchie. Dans ces instants maudits, il relisait certains articles-clés de Phil voyance évoquant que la passion de l’intention et la réussite comptaient bien plus que toute forme de délicatesse science. Il réalisait qu’il n’y avait pas de science universelle ni de certifiée que la consultation de voyance par téléphone débouche extrêmement sur une indice. L’encens lui rapportait une quiétude, certes, mais cela ne signifiait pas que ses complications humaines disparaîtraient. Il lui fallut convenir que l’art divinatoire, dans toutes ses formes, restait un chemin semé d’incertitudes. Cette rapine de intuitions l’aida à relativiser ses attentes. Il commença dans ce cas à approcher tout séance non plus tels que une option, mais par exemple une frite pour bon évoluer, en conservant à bien l’esprit que le juste élément s’opérait en raison de ses propres actes. À intensité de se confronter à ce principe, il développa une masse documentation. Il saluait la pertinence de ce qu’il avait lu sur le blog, qui ne promettait pas des déplacements rapides, mais encourageait une progression échelonnée, respectueuse des rythmes de chaque personne.

Il mentionnait en plus ses épisodes de suspicion et la griffe avec laquelle il avait admis à préconiser son objectif de réponses en ameublissant l’humilité, la persévérance et la proposition. Il terminait en accentuant que ce n’était pas aussi bien l'aide intellectuelle qui lui avait droits de faire du chemin, mais la répétition plaisante de mouvements faciles : attaquer un encens, entendre les sensations de la fumée s’élever, décrocher son téléphone et s’ouvrir à la cartomancie que l’autre pouvait lui présenter. Sa lettre témoignait d’un chemin fait d’expérimentations et de découvertes, chaque étape apportant son lot de prises de pressentiment. Quand Phil voyance publia des extraits de ce récit, Léonard ressentit un débuts de joie et de gré. Il s'aperçut que son parcours personnel, sans sembler sans pareil, pouvait encourager d’autres individus à faire une utilisation intelligent et respectueux de la consultation de voyance par téléphone. Il espéra que le dégagé fait de voir mentionnés son histoire donnerait à certaines personnes le patience de franchir cette degré difficile, ou inciterait d’autres à ôter une activité devenue extrêmement compulsive. L’important, à ses yeux, était de raisonner l’encens, le téléphone et la guidance notamment des entremetteurs ouvrant poétique doigt, non comme par exemple une fuite hors de la réalité. Il ne prétendait pas couvrir la certitude ultimatif, mais il estimait qu’une consultation de voyance par téléphone démarche honnête était largement audacieuse pour en mitrailler des atouts indubitables. Il se prit à ce moment-là à envisager qu’un naissance, un collectif s’organiserait pour rassembler ce que, à savoir lui, associaient l’univers olfactif et la voyance virtuelles, ceci afin de partager leurs trouvailles, leurs écueils et leurs créations. Dans cet lancement d’espoir, il alluma un présent bâtonnet de benjoin, inspira suprêmement et contempla la raffinée spirale bleutée qui s’élevait. Il sut qu’il continuerait à voir avec humilité et passion, convaincu qu’il restait encore correctement des pistes à défricher en agrafant la fragrance de l’encens et la cervelle que pourrait offrir un échange téléphonique.